Des chiens, des rats et des singes : l’expérimentation animale à McGill
L’Université interdit à son personnel de photographier ou de partager des documents sur la recherche animale.
L’Université interdit à son personnel de photographier ou de partager des documents sur la recherche animale.
Les futur·e·s infirmiers et infirmières, qui font leur stages dans des hôpitaux, doivent composer avec le risque d’attraper la maladie.
En même temps que le reste du Québec, en mars dernier, la Faculté de musique de McGill a été prise de court par le confinement.
L’Université avait changé les règles sanitaires quelques semaines auparavant, mais plusieurs étudiant·e·s n’étaient pas au courant.
Des étudiant·e·s demandent à ce qu’on retire des œuvres contenant le « mot en n » du programme ; des professeur·e·s se plaignent de l’absence de soutien de la part de l’Université.
Des responsables de l’association étudiante prient l’administration de poser des limites à la liberté académique et d’encadrer les interventions des professeur·e·s dans les médias.
L’Université se dissocie fermement des propos de l’AÉUM, qui avait commenté les actions du gouvernement chinois dans l’ancienne colonie britannique.
Pour plusieurs, la pandémie se sera révélée bénéfique pour la réflexion et la création.
Les institutions culturelles se réinventent pour palier à la crise.
Les alternatives numériques offertes aux arts de la scène semblent peu convaincantes.
Regard sur le Festival de la poésie de Montréal en contexte pandémique.
Les mesures de confinement ont porté un coup énorme aux cirques montréalais.
Le Délit s’est penché sur la situation du milieu du livre au Québec en temps de pandémie.
Si les représentations ne sont que les pointes visibles du travail artistique, la pandémie n’a pas pour autant épargné tout ce qui les précède.
Les effets de la pandémie sur les milieux culturels