L’indissociable lien entre subjectivité et liberté académique
Réflexion sur les nouvelles conceptions de la liberté académique.
L’indissociable lien entre subjectivité et liberté académique
Les médias ont-ils appris de l’attentat de Québec ?
Réponse à la chronique d’Isabelle Hachey sur les incidents survenus à McGill.
L’enseignement d’œuvres jugées offensantes crée la controverse au département de littérature francophone de McGill
Des étudiant·e·s demandent à ce qu’on retire des œuvres contenant le « mot en n » du programme ; des professeur·e·s se plaignent de l’absence de soutien de la part de l’Université.
La gauche « woke » endormie sur ses rêves symbolistes
Pot-pourri sur une asphyxiante bien-pensance de surface.
La Révolution tranquille est une fiction
Quand l’Histoire devient mythe.
Vif débat sur la liberté académique à McGill
Des responsables de l’association étudiante prient l’administration de poser des limites à la liberté académique et d’encadrer les interventions des professeur·e·s dans les médias.
Panneaux solaires, pas toujours verts
Les énergies renouvelables ont aussi leurs défauts, qu’il ne faut pas ignorer.
L’équité menstruelle est une question de dignité
Qu’est-ce que la précarité menstruelle et pourquoi devrions-nous nous en soucier ?
Hercule à l’université
Plaidoyer pour une pédagogie du bon sens et de l’efficacité.
La Révolution tranquille ne visait pas à détruire, mais à bâtir
Une réponse à l’article « Quand “Speak white” resurgit en 2020 ».
Un répit égoïste
Est-ce bien responsable de voyager pour le plaisir au beau milieu d’une pandémie ?
Pouvoirs et limites d’un gouvernement démocratique
Réflexions sur l’engagement de l’État en période de crise.
Pourquoi McGill préfère-t-elle que son association étudiante ne parle pas de Hong Kong ?
L’Université se dissocie fermement des propos de l’AÉUM, qui avait commenté les actions du gouvernement chinois dans l’ancienne colonie britannique.
« Mot en n » : l’indissociabilité des mots et des maux
L’Association des étudiant·e·s noir·e·s en droit de McGill effectue un retour sur la situation et dénonce l’utilisation de ce terme dans le milieu académique.
Quand « Speak white » resurgit en 2020
Le silence du français à McGill.