D’oranges et de rêves
Le surréalisme contemporain s’installe dans le deuxième sous-sol du Musée des Beaux-arts de Montréal. L’exposition La terre est bleue comme une orange nous présente les récents ajouts du Musée à sa collection permanente.
Le surréalisme contemporain s’installe dans le deuxième sous-sol du Musée des Beaux-arts de Montréal. L’exposition La terre est bleue comme une orange nous présente les récents ajouts du Musée à sa collection permanente.
L’édition 2010 du World Press Photo investit l’espace du Musée Juste pour rire. L’exposition offre une revue de l’année des plus percutantes photographies de presse, sélectionnées par un jury d’experts.
« La culture de l’immédiat ne s’applique pas aux changements de mentalité. Elle ne s’applique pas non plus à la compréhension des enjeux liés aux changements climatiques. »
Une confession tout d’abord. Je ne suis pas québécoise, je suis même Française et Américaine… Je suis une mutt. Et comme vous le constatez, je me permets de commenter le bilinguisme au Québec, à Montréal, et sur le campus McGill. Non mais, pour qui je me prends ?
Vous en avez entendu parler, ça a peut-être perturbé vos déplacements : le 12 septembre dernier avait lieu le Grand Prix Cycliste de Montréal. Serge Arsenault, présentateur de la soirée du Hockey dans les années 1980, ancien président du Marathon de Montréal et propriétaire du groupe média Serdy, a su convaincre gouvernement, mairies et Union Cycliste Internationale (UCI) d’«importer » les équipes du Tour de France pour deux courses se passant dans la belle province.
Le web documentaire entraîne son spectateur dans un espace de découvertes et de rencontres où l’interactivité est reine. Alors que l’Amérique du Nord tarde quelque peu à adopter la formule, ARTE, Le Monde et d’autres organismes européens l’exploitent avec grand succès.
Dans son numéro du mois de septembre, le magazine Playboy publiait quelques pages d’une traduction du classique de Flaubert, « roman le plus scandaleux de tous les temps », si l’on en croit le titre en couverture.
Belliard s’inscrit dans une lignée d’auteurs-compositeurs-interprètes qui ont la cote en ce moment (Le Husky, David Marin, Yann Perreau…) et qui choisissent d’investir seuls l’espace créatif entre eux et leur public.
Loin de nous l’idée de relancer cette semaine le sempiternel débat sur l’intérêt du support électronique face au bon vieux papier (n’est-ce pas là, d’ailleurs, qu’une simple question de préférence?), mais bien des questions peuvent toutefois être soulevées quant à l’influence de ce virage sur la vitalité de l’édition québécoise. Les attentes des éditeurs par rapport à cette entreprise de numérisation sont-elles réalistes, voires justifiées ? Rien n’est moins sûr.
Mères et filles, le dernier film de Julie Lopes-Curval : une histoire familiale qui retrace l’évolution de la femme au XXe siècle.
Parler de littérature de langue française, voilà un objectif qui relève de mes maigres compétences. « Mais quel genre de littérature ? », vous demandez-vous sur le bout de votre chaise. Voilà une question qui suppose qu’on puisse distinguer des littératures différentes au sein de la littérature. Est-ce ben raisonnable ? Eh bien quel adon, voici justement mon objet.
Le Théâtre PàP reprend Abraham Lincoln va au théâtre, une tragicomédie qui expose le portrait décapant d’une Amérique psychotique.
Tout se pète la gueule, chérie, un spectacle multidisciplinaire audacieux et déroutant présenté à La Chapelle par le groupe d’art Gravel Art Group (GAG) après un passage au Festival TransAmériques cet été
Tête de turc, une première réalisation audacieuse de l’acteur français Pascal Elbé, nous plonge au cœur d’une histoire rocambolesque qui prend vie dans un quartier sensible.
Chinatown, le groupe romantico-pop-rock révélé en 2009 grâce à son album Cité d’or, était en concert vendredi dernier au Bain Mathieu. Histoire d’une rencontre en or avec des dandys des temps modernes.