Aller au contenu

Société

Slow Food ou renaissance de la gastronomie artisanale

    « Acheter, c’est voter » : c’est ce que bon nombre d’activistes répliquent lorsque vous leur demandez leur conception de la consommation alimentaire. Ils n’ont pas tort : se procurer des ananas scellés sous vide et bourrés d’agents de conservation entretient la logique complaisante des multinationales. C’est aussi s’alimenter d’une manière moins saine qu’on ne le fait avec des produits du Québec.
    Fini les produits transformés. Faisons place à ce contre-courant qui rejette l’ubiquité du Fast Food. Cette semaine, Le Délit vous invite à passer à table. Au menu ? Tomates de serre écologiques, oignons biologiques, jeunes pousses et graines germées, plateau de fromages de chez-nous. Un guide d’initiation pour l’étudiant pressé !
    Slow Food, Slow Lecture : prenez le temps de bien lire cet article, avec un verre de jus de pommes brun à la main !

    Parmi les cadavres

      On vous a refusé l’accès à la Faculté de médecine ? Le Délit vous ouvre ses portes.
      Les professeurs d’anatomie expliquent en quoi il demeure important d’étudier les morts pour mieux comprendre les vivants, les étudiants, confrontés à cette réalité, témoignent de leur expérience et finalement les Archives de McGill révèlent combien les temps ont changé pour les étudiants en médecine. Visite à tombeau ouvert jusqu’au coeur d’une Faculté convoitée.

      La tournée des bars

        Il y a quelques semaines, Le Délit vous ouvrait la porte de trois restaurants à vocation particulière. Cette semaine, nous vous proposons de découvrir l’esprit qui anime quatre bars montréalais. Après avoir bien mangé, il est toujours agréable de digérer avec un bon verre !
        Second dossier d’une série de trois.

        Le nouvel ABC du journalisme

          « Mettre le pied dans la porte, forcer votre présence, poser des questions embarrassantes », ça vous ressemble ? Bien que cela puisse sembler un peu excessif, c’est tout de même en ces termes ‑et quelques autres- que Pierre Jury, éditorialiste au Droit, définit le journalisme. Pour la Fédération professionnelle des journalistes du Québec, le journalisme est un « rapport le plus fidèle des faits importants de la vie de notre société ». Chien de garde ou quatrième pouvoir de la démocratie, la véritable définition du journalisme s’actualise constamment. Et c’est une des raisons pour lesquelles Le Délit se penche sur l’émergence des nouveaux outils médiatiques. Le dossier qui suit renferme aussi des conseils de pros, des harangues de militantisme politique étudiant, et des ressources pour les potentiels-reporters-à‑l’état-latent d’entre vous. 

          Remuer ciel et terre

            Depuis bientôt une semaine, Guy Laliberté flotte au-dessus de nos têtes, rêve en main.
            Il a bien traversé les cinq couches de l’atmosphère terrestre, mais tracera-t-il un espace entre son message et le public ?
            L’art dans l’espace : acte de sensibilisation ou coup d’argent ?

            Se mettre le nez dans les plats

              Cette année, le Délit et ses journalistes se proposent de partir à la recherche de hauts lieux inusités à Montréal. La cible de cette semaine : les restaurants.Premier dossier d’une série de trois.

              La crise de la quarantaine

                Une fête en larmes ? Le quarantième anniversaire de l’Université du Québec à Montréal sonne l’heure des bilans pour la deuxième université francophone montréalaise et pour l’ensemble du réseau universitaire québécois.

                Faire l’amour pour la paix

                  Le Musée des beaux-arts de Montréal invite les petits et les grands à rejoindre Yoko dans son lit pour rêver un idéal. 

                  Une symbiose à portée de main

                    « Car, comme la terre fait éclore son germe, et comme un jardin fait pousser ses semences », Emily Rose Michaud inspire une rencontre entre la ville et la nature par son projet du Jardin Roerich. 

                    Pas de boulot, pas de dodo

                      Chaque matin, en sortant de la station McGill pour se rendre au travail ou à l’université, des milliers d’usagers de la STM les croisent. Ils sont là, assis en haut de l’escalier, près des grilles de chauffage. Ils ne mendient pas nécessairement. Souvent ils dorment, ils parlent entre eux, réfléchissent simplement ou encore sourient aux passants qui, pour la plupart, détournent le regard sans broncher ou leur remettent quelques pièces de monnaie. Le Délit a tenté d’explorer le monde méconnu de l’itinérance, en se concentrant principalement sur la situation des itinérants qui se trouvent à la station McGill.

                      Le Délit met la main à la pâte !

                        Nul n’est besoin de se promener longuement sur les grands boulevards pour dénicher une demi-douzaine de cupcakes, ces petits gâteaux colorés. Vous trouverez avec aisance de nombreux porte-clefs qui imitent leurs formes, maints chandails sur lesquels s’impriment leurs couleurs, sans mentionner ceux qui décorent les cartes d’anniversaire. D’où tombent-ils donc tous ? 

                        Éthique=Médias Corporatistes ?

                          Nos sociétés industrielles permettent aujourd’hui une circulation effrénée de l’information. Les pamphlets électoraux, quotidiens
                          indépendants et spéciaux de la semaine s’impriment et s’expriment, se déversent l’un dans l’autre dans un courant tempétueux et perpétuel. Les industries médiatique et publicitaire sont vassales du capital. L’éthique, quant à elle, s’impose comme compromis nécessaire pour repenser la publicité.