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Chroniques

Mode d’emploi : comment mettre la culture en morceaux

    Le 27 août au matin, une foule de près de 2500 personnes se réunit devant la Société des Arts Technologiques (SAT), sur la rue Saint-Laurent. Sont présents des artistes, des travailleurs culturels, mais aussi des représentants de plusieurs partis politiques. En quelle occasion ?

    Cahier création 2008

      Le Délit finit son année de publication en beauté avec la troisième édition du supplément création.

      Ballerines

        La rue n’est plus frigide. Le jour est arrivé où Montréal, timide, daigne enfin découvrir la couleur de ses trottoirs. Les Montréalais peuvent, voyeurs, admirer… Lire la suite »Ballerines

        Chambouler

          Comment inaugure-t-on une dernière chronique ? Je suis fatigué et les muses m’ont abandonné. J’ai bien cherché conseil auprès de ma colocataire, mais elle m’a simplement… Lire la suite »Chambouler

          Confit de Délit

            Avec le souci de mieux servir les intérêts de son lectorat, Le Délit proposait la semaine dernière un sondage permettant à ses lecteurs assidus ou occasionnels d’exprimer leur opinion sur la publication. Lors du traditionnel Délit-party, le conseil de rédaction a accepté de se prêter au même exercice. Soucieux de donner une voix aux marginaux, Le Délit publie ici les réponses de son lecteur collectif le plus fidèle.

            Sans titre

              Difficile d’imaginer un quotidien où la notion d’identité ne serait pas omniprésente. Avec le titre de transport de la STM, la carte étudiante, sans compter les innombrables permis et identificateurs que chacun trimballe, les traces identitaires paraissent indispensables pour huiler la mécanique sociale. Pourtant, nombreux sont ceux qui, refusant la signature ou se voilant dans l’anonymat, s’amusent à bloquer cet engrenage et à créer de nouvelles formes d’expression artistiques et politiques. Excursion aux origines et tactiques de ces Spartacus des temps modernes.

              Un innocent en Chine rouge

                Chine, juillet 1966. Le président Mao vient de lancer la Grande Révolution culturelle prolétarienne. Au même moment, à Montréal, J.-P. B. s’apprête à se lancer dans un périple qui changera sa vie. Alors âgé de 19 ans, il sera l’un des rares Occidentaux à visiter la « Chine rouge » à cette époque. Guillaume Dutil l’a invité à partager son carnet d’un voyage dans le temps.