Nouvel espoir pour le photojournalisme ?
Faut-il se résoudre à dire adieu au bon vieux photojournalisme ?
Faut-il se résoudre à dire adieu au bon vieux photojournalisme ?
Il faut sortir du ghetto de McGill pour vraiment apprécier les charmes québécois et les autres endroits branchés de la province.
Le 10 décembre dernier, j’ai appris avec délectation le nom des lauréates du prix Nobel de la paix 2011.
Mon petit frère est en 1re secondaire. Il est revenu à la maison après une journée d’école s’étant terminée par un cours de sciences.
Je suis née et ai grandi à Montréal. J’ai été une de ces enfants que les mères de banlieues croient plongées dans la drogue et le sexe, destinées aux carrières de danseuses sexy ou gérante chez Burger King.
Ou comment la Cour suprême a contrecarré les plans du gouvernement fédéral.
Ceci n’est pas un article sur la foi catholique et ses institutions, comme certains pouraient le croire.
Montréalais, réjouissez ‑vous de votre sort ! Si vous n’arrivez pas à comprendre les petites annonces immobilières remplies d’abréviations farfelues, honte à vous.
En mai 2010, mon père m’a appelé. « T. est à Montréal, il rend visite à sa fille, il a pris ton adresse ». Je n’aurais jamais pensé rencontrer T. ici, je ne savais même pas qu’il avait une fille à Westmount.
Le cynisme est présent dans la plupart des sociétés occidentales, mais des jeunes se lèvent encore pour prendre d’assaut les institutions démocratiques et les rendre à leur image le temps d’une simulation.
Une épidémie de gastro met abruptement fin au congrès annuel de la Canadian University Press.
Ce n’est pas de manière innocente que l’on s’attelle au fond de son lit à la lecture d’un récit sur la mort, particulièrement en ce début d’année, période de renouveau et d’enthousiasme, parfois démesuré, s’il en est.
Nouvelle chronique, nouvelle année. Même thème : l’avenir. Et quoi de mieux qu’un début de janvier pour spéculer sur les saisons à venir ?
Les fêtes ne sont pas uniquement pour vous et moi. Les rencontres en famille et entre amis sont de véritables bars ouverts pour les organismes aérogènes contenus dans vos divers mucus des voies respiratoires.
Le silence au temps des fêtes n’existe ainsi qu’à l’extérieur, et seulement lorsqu’il y a suffisamment de neige pour absorber le bruit des voitures sur la chaussée glissante.