La onzième édition du Festival Montréal en Lumière est à nos portes. L’espace de quelques jours, la ville s’animera d’une foule d’activités culturelles et artistiques qui auront tôt fait de dissiper la froideur de l’hiver.
ÉPISODE 17
Résumé des épisodes précédents :
Francis, un jeune québécois étudiant à McGill, a rencontré Delilah, une T.A. rousse et farouche. Après maints rebondissements, Delilah et Francis sont en froid. Les amoureux sont-ils définitivement séparés ? Leur désir brûlant les réunira-t-il ?
Le centre de danse contemporaine et d’arts interdisciplinaires Studio 303 convie le public à de nombreux rendez-vous ludiques parmi lesquels Instructions, présenté le 6 février dernier.
Mon corps deviendra froid, présenté au théâtre de Quat’sous, nous convie à un souper de famille des plus tracassants.
Le documentaire de Rodrigue Jean offre une sombre incursion dans le quotidien des travailleurs du sexe.
Dans Porno Manifesto, Ovidie transgresse tous les tabous et traite sans gêne ni culpabilité du monde pornographique.
Le Délit a rencontré une des organisatrices derrière les représentations des Monologues du Vagin, qui ont eu lieu la fin de semaine dernière sur le campus de McGill.
Bienvenue au pays du air sex et des vibrateurs Hello Kitty !
Jusqu’au 9 mai à l’Espace Création Loto-Québec, Diane Dufresne et Richard Langevin nous offrent une exposition multidisciplinaire à la mesure de leur démesure.
ÉPISODE 16
Résumé de l’épisode précédent :
Delilah, notre héroïne, avec la résolution d’être belle et en forme, se rend au centre de sport de McGill, et se lie d’«amitié » avec un espoir olympique de l’équipe de hockey du Canada. Il est quant à lui tourmenté par les sentiments irrépressibles qui l’assaillent à la vue de sa belle au bras du sportif.
Le premier des quatre romans de l’écrivaine Nelly Arcan, Putain
Catherine Millet brise les murs qui séparent les sphères privée et publique en créant avec son lectorat une intimité factice.
Le Théâtre du Rideau Vert présente Une musique inquiétante de l’américain Jon Marans, un savant mélange de théâtre et de musique classique allemande mis en scène par Martin Faucher.
Un Lucky Luke incarné par Jean Dujardin qui sait bien donner vie au personnage qui tire plus vite que son ombre.
Jusqu’au 13 février, L’Amour incurable rempli l’Espace libre de son univers merveilleux.