Une question de complexes
Le Canada passe sous le bistouri cet automne, pour un lifting du faciès. Un lifting à rebours, en fait, puisque la Couronne britannique revient dans les bonnes grâces de l’imagerie canadienne.
Le Canada passe sous le bistouri cet automne, pour un lifting du faciès. Un lifting à rebours, en fait, puisque la Couronne britannique revient dans les bonnes grâces de l’imagerie canadienne.
Pour écrire sur une mascarade, Occupy Wall Street et toutes ses émulations à travers le monde (il y a même un Occupons Sherbrooke!) ne pouvaient pas mieux tomber.
Certains d’entre vous connaissent peut-être déjà le concept de couch surfing. Il s’agit non seulement d’une méthode d’hébergement très économique, mais aussi d’un excellent moyen de rencontrer les habitants de la ville que l’on visite et de s’immerger dans la culture d’un pays étranger.
Les citrouilles envahissent les marchés, squelettes et zombies s’étalent dans les vitrines, bonbons et autres gommes règnent partout. Halloween donne à la ville une nouvelle allure.
Tout le monde a déjà entendu ce mot : mascarade. Et vous l’avez lu de nombreuses fois dans ces pages cette semaine, alors que nous avons choisi d’en faire l’hommage dans ce numéro spécial. Mais qu’est-ce que c’est ?
La semaine dernière, la serveuse du restaurant dans lequel j’étais attablée m’a surprise à zieuter la table voisine. « Quelque chose d’intéressant par ici ? » me demande-t-elle en souriant.
Après l’AÉUM, le conseil de la PGSS soutient les demandes des TA.
L’ancien président exige la liste des 21 000 membres de l’AÉUM.
L’exécutif contraint par la loi de s’exécuter.
Les groupes syndicaux, étudiants et professoraux s’engagent dans une surenchère des actions de solidarité.
Mario Beaulieu, président du Mouvement Québec français, se prononce au sujet du financement de l’éducation.
Leçon sur le langage visuel de la BD japonaise.
Une adorable vision d’horreur pour la bédé de la semaine pour l’édition du 4 octobre 2011.
Les étudiants présents donnent un mandat clair contre la hausse à leur association étudiante.
L’AGSEM pense pouvoir bénéficier de l’élan humaniste des autres syndicats ainsi que du mouvement étudiant.
Coordinatrice administrative au Centre de communication écrite de l’université McGill et membre de MUNACA