L’oubli, la tentation et le voyeurisme
L’exposition L’oubli de l’air propose une réflexion sur les rapports entre l’œuvre et son public.
L’exposition L’oubli de l’air propose une réflexion sur les rapports entre l’œuvre et son public.
En ligne depuis quelques mois, on retrouve sur ce site toute l’information imaginable sur l’actualité musicale et sur quelque 1500 artisans faisant partie du milieu. Photos, extraits, vidéos et calendrier ; la page dédiée à chaque groupe ou artiste est on ne peut plus complète, bien qu’elle n’ait rien d’absolument novateur.
L’auteur-compositeur-interprète Moran, qui faisait paraître l’an dernier son second album, Mammifères, donne actuellement une série de spectacles que nous vous conseillons de ne pas manquer.… Lire la suite »Moran aime McGill
Après Maelstrom et Polytechnique, le réalisateur québécois Denis Villeneuve revient en force avec Incendies, l’adaptation cinématographique de la pièce de Wajdi Mouawad.
Écrite en 1945 par Beckett et retrouvée vingt-cinq ans plus tard par Jérôme Lindon qui a vraisemblablement poussé Beckett à la retravailler, Premier amour est une pièce difficile à résumer en quelques lignes. Un homme, assis seul sur un banc, raconte, après la mort de son père, l’histoire de son premier amour. À moins que ce ne soit l’histoire de l’Amour ?
Difficile de ne pas être nostalgique du temps où les mots étaient chargés d’une infinie portée, où ils n’étaient pas encore banalisés par le tourbillon technologique. Pourtant, il faut savoir vivre avec son temps. Et si je me sens parfois un peu anachronique, il faudra pourtant que je m’y fasse.
Comme le laisse entendre ce court extrait de la correspondance, la « Pâoline » et le « Gégé » ont vécu leur trente ans d’amour dans un grand écart : tendus entre la lettre et le lit, entre la « solitude à deux » et le quotidien partagé. Tous deux sont appelés au loin par leur carrière, mais, au fil des années, un même pacte les lie : pas de téléphone. Seule cette correspondance frénétique, parfois terrible, qui s’est étendue avec la même fougue de 1962 à 1993.
Avec son look bohème, ses airs de pianos nostalgiques et ses tubes électrisants, Alex Nevsky suscite un enthousiasme qui ne démord pas en cettte rentrée culturelle. Rencontre avec un passionné des mots qui conjugue à un côté fleur bleue tout le charme d’une poésie sombre.
Le 27 septembre, vous casserez avec moi votre blues du lundi au spectacle de Best Coast à la Sala Rossa. Ce groupe de indie-surf-rock lo-fi, aux accords minimalistes grunge-esques, venant de El Lé, Californie, s’y produira avec les également surf et grunge-esques britanniques de Male Bonding. Sortez vos flanelles.
Meat the truth ou comment cerner l’impact de l’élevage de bétails sur le climat pendant les soixante-quatorze minutes d’un documentaire plutôt bien ficelé.
Random Recipe, c’est l’union improbable de quatre personnes –Frannie, Fab, Liu-Kong et Vincent– qui ne semblent avoir véritablement qu’une chose en commun : la volonté de faire de la musique, à leur manière, et d’avoir le plus de plaisir possible en cours de route.
Le surréalisme contemporain s’installe dans le deuxième sous-sol du Musée des Beaux-arts de Montréal. L’exposition La terre est bleue comme une orange nous présente les récents ajouts du Musée à sa collection permanente.
L’édition 2010 du World Press Photo investit l’espace du Musée Juste pour rire. L’exposition offre une revue de l’année des plus percutantes photographies de presse, sélectionnées par un jury d’experts.