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Chroniques

L’âme à la tendresse

    Comme le laisse entendre ce court extrait de la correspondance, la « Pâoline » et le « Gégé » ont vécu leur trente ans d’amour dans un grand écart : tendus entre la lettre et le lit, entre la « solitude à deux » et le quotidien partagé. Tous deux sont appelés au loin par leur carrière, mais, au fil des années, un même pacte les lie : pas de téléphone. Seule cette correspondance frénétique, parfois terrible, qui s’est étendue avec la même fougue de 1962 à 1993.

    L’automne c’est plate, le fun c’est l’fun

      Le 27 septembre, vous casserez avec moi votre blues du lundi au spectacle de Best Coast à la Sala Rossa. Ce groupe de indie-surf-rock lo-fi, aux accords minimalistes grunge-esques, venant de El Lé, Californie, s’y produira avec les également surf et grunge-esques britanniques de Male Bonding. Sortez vos flanelles.

      L’exode des cerveaux : une épopée intelligente

        Environ 130 000 étudiants étrangers viennent fréquenter les établissements scolaires canadiens annuellement. Si la dualité de nos langues officielles et la qualité de l’éducation post-secondaire jouent un rôle dans leur décision de joindre nos rangs d‘école, le gouvernement se fait aussi un devoir de présenter le Canada sous ses meilleurs atours à l’étranger, entraînant de graves conséquences pour plusieurs pays en voie de développement. Le Délit s’est penché sur ce produit dérivé de la mondialisation.

        L’exode des cerveaux : une épopée intelligente

          Environ 130 000 étudiants étrangers viennent fréquenter les établissements scolaires canadiens annuellement. Si la dualité de nos langues officielles et la qualité de l’éducation post-secondaire jouent un rôle dans leur décision de joindre nos rangs d‘école, le gouvernement se fait aussi un devoir de présenter le Canada sous ses meilleurs atours à l’étranger, entraînant de graves conséquences pour plusieurs pays en voie de développement. Le Délit s’est penché sur ce produit dérivé de la mondialisation.

          Troque my ride… pour un vélo !

            « La culture de l’immédiat ne s’applique pas aux changements de mentalité. Elle ne s’applique pas non plus à la compréhension des enjeux liés aux changements climatiques. »

            Le conflit continue

              Une confession tout d’abord. Je ne suis pas québécoise, je suis même Française et Américaine… Je suis une mutt. Et comme vous le constatez, je me permets de commenter le bilinguisme au Québec, à Montréal, et sur le campus McGill. Non mais, pour qui je me prends ? 

              Ça roule pour Montréal

                Vous en avez entendu parler, ça a peut-être perturbé vos déplacements : le 12 septembre dernier avait lieu le Grand Prix Cycliste de Montréal. Serge Arsenault, présentateur de la soirée du Hockey dans les années 1980, ancien président du Marathon de Montréal et propriétaire du groupe média Serdy, a su convaincre gouvernement, mairies et Union Cycliste Internationale (UCI) d’«importer » les équipes du Tour de France pour deux courses se passant dans la belle province.

                Des distinctions

                  Parler de littérature de langue française, voilà un objectif qui relève de mes maigres compétences. « Mais quel genre de littérature ? », vous demandez-vous sur le bout de votre chaise. Voilà une question qui suppose qu’on puisse distinguer des littératures différentes au sein de la littérature. Est-ce ben raisonnable ? Eh bien quel adon, voici justement mon objet.

                  Modèles réduits ?

                    Tout se pète la gueule, chérie, un spectacle multidisciplinaire audacieux et déroutant présenté à La Chapelle par le groupe d’art Gravel Art Group (GAG) après un passage au Festival TransAmériques cet été

                    Gonflés à bloc !

                      Des sacs aux proportions démesurées, des bidons aux couleurs alléchantes ainsi que des fioles géantes trônent au centre d’une marée humaine. Il est midi, il fait 35° à l’ombre et la foule universitaire sait où se rendre : au magasin Liquid Nutrition.

                      Le parti du dépaysement

                        Afin d’esquiver encore quelque peu la dure réalité de la rentrée, je vous propose de vous arrêter, le temps d’une chronique, dans ce monde en marge du monde qu’est le roman. Nous y escortent cette semaine Dominique Fortier et sa dernière œuvre, Les Larmes de saint Laurent, parue cet été aux éditions Alto.