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Revue de fin d’année de l’AÉUM : v.-p. aux Affaires internes

Le Délit fait une rétrospective de l’année de la vice-présidente aux Affaires internes de l’AÉUM. 

The McGill Daily

Le Délit (LD): Quel est ton plus grand accomplissement cette année ? 

Maya Koparkar (MK): Il y a plusieurs projets de la partie événement de mon portfolio qui ont été très réussis. Plus spécifiquement, notre événement d’Halloween a eu beaucoup de succès. Nous avons changé la structure de Four Floors pour créer un événement en collaboration avec le campus MacDonald. C’était la première fois que nous faisions quelque chose comme ça. Les gens ont trouvé que l’événement était bien organisé et sécuritaire. Nous avons établi un partenariat avec le campus MacDonald. Je pense que c’est quelque chose qui pourra se refaire l’année prochain, d’autant plus que le bâtiment Shatner sera fermé. En plus de cela, cet événement était satisfaisant sur le plan financier. Faculty Olympics s’est aussi très bien passé. D’habitude, le portefeuille événement a plusieurs centaines de dollars de déficit mais cette année nous avons réussi à rester dans les marges qui est un grand accomplissement.

LD : Y a‑t-il un projet qui te tenait à cœur, mais que tu n’as pas pu accomplir ?

MK : Pour être honnête, je ne crois pas. Il y a peut-être quelques projets que j’aurai voulu développer, mais mon but était surtout de travailler le côté événement de mon portefeuille. Depuis le début de l’année, j’avais insisté sur le fait que la plupart de mes objectifs toucherait ce portefeuille et je pense que j’ai réussi à accomplir ce que je voulais et ce que j’avais annoncé.

LD : Que penses-tu du manque de candidats durant les récentes élections des exécutifs de l’année prochaine ? 

MK : D’après moi, ça va et ça vient. C’est vrai qu’il n’y qu’une seule position qui a été contesté pendant ces élections mais le taux de participation des votes était de 32%, ce qui représente une augmentation de 10% par rapport à l’année dernière. Ça montre que les étudiants sont toujours investis dans la politique étudiante. Je connais personnellement beaucoup de gens qui pensent à se présenter pour l’année prochaine, je pense que ça varie vraiment d’une année à l’autre. Le plus important c’est d’avoir un taux de participation élevé pour les votes. Je suis optimiste.

LD : Un mot sur le Conseil des premières années ? 

MK : Le Conseil des premières années (First Year Council, en anglais, ndlr) a eu une réforme constitutionnelle pendant l’été, car je trouvais qu’il n’avait pas assez de représentation. Grace à ce changement constitutionnel, le conseil a maintenant un représentant pour les étudiants hors campus, un [représentant] pour tout ce qui touche au développement durable et un [représentant] pour les activités athlétiques parce que les premières années sont souvent très impliquées dans les sports. Leur but pour l’année prochaine est d’assurer une certaine continuité et aussi d’étendre leurs critères d’adhésion pour avoir des représentants de plusieurs facultés. Pour être honnête, le Conseil des premières années a été très indépendant cette année, je suis juste intervenue quand ils avaient besoin d’aide ou de conseil.

 

Les réponses de cette entrevue ont été traduites de l’anglais.


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