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Une lettre a l’Editeur du Delit Francais

« Je deviendrais traiteur aux machinatons cruelles de la peine » [Courrier tel quel].

Le débat sur le suicide assisté et l’euthanasie, s’adresse vers si une personne, autre pour raison de la commission d’une offense capitale dans un pays punissant une telle crime avec la mort, puisse, avec la bénédiction et approbation de la force de la loi , chercher le soulagement de ses deuils ou peurs, en choisissant de mourir artificiellement avec l’aide d’une autre personne. Ici, au Canada, la Cour Suprême a affirmé que, selon l’opinion de cette corps, la personne malade a le droit de se suicider venant du la plus haute loi du Canada. La cour ne nous a pas raconté qui est une personne inguérissable et très malade, mais il a affirmé, si on supporterait, une sorte de rationalité très sacrée  et inviolable de la part de la patiente Canadienne,  venant, il semble, de son droit au choix légale de se suicider, pour chaque personne d’opinion pareille, se puisse croire qu’elle possède le permit du James Bond, d’issu mystérieux des médecins n’importe quelles soient leur sensibilités  de tuer—soi même.

Sachant de l’éventualité de la mort nous donnerait ni l’espoir de devenir James Bond, ni le désir de s’occuper de ses poursuites, ou même de les abandonner. Mais il est manifeste que la privilège du James Bond, son permit a tuer, n’a pas été conféré sur lui avec l’intention de la part de l’agence MI5 afin de lui permettre de se suicider. Par contre, le permit de 007  de tuer tous les ennemis du Royaume Unie, sont venus avec la responsabilité de l’utiliser seulement pour le bien du Royaume.

Il est possible que plusieurs Canadiens qui prendront recours a ce nouveau droit, donné par la Cour, se croiront eux mêmes de faire non moins qu’une service a leur communauté. La vie, même vécue dans la santé peut être dure, et beaucoup plus dans la maladie. Les James Bonds du Canada défendront leur pays aussi.

Bien sur, il est leur devoir de la défendre, contre une être trop chère et couteux, contre la vison d’un jour ou ils ne marcheront plus, ne parleront plus, contre ceux que prennent soin d’eux, qui sont possiblement des créditeurs qui appelleront n’importe qui pour de l’argent. Contre les mémoires douloureux du passé et les anxiétés du présent-la peur du demain. Bien sur, de ces chose, il faut que je vienne a la défense de mon pays, de ma Reine, et mon monde. 

Pourvu que, que la bonté l’interdise, je deviendrais traiteur aux machinations cruelles de la peine, a mes peurs, aux souhaits et dégouts des autres, et ces choses opposant, je vive.


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