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Fin de semaine de Grand Prix mouvementée

Nicolas Quiazua | Le Délit

Nicolas Quiazua | Le Délit
Le Grand Prix de Montréal se déroulait cette année entre le 7 et le 10 juin sur l’île Sainte Hèlene. Les désormais journalières “manifencours” ont pris d’assaut l’évènement sportif, que les manifestants qualifiaient d’élitiste et sexiste. 

De jeudi à dimanche, une présence accrue du Service de Police de Montréal (SPVM) a fait face a une forte résistance de la part des manifestants. Les manifestations ont prit différentes formes. On a pu assister a des manif actions, une manifestation nue, un tintamarre de casseroles et des marches nocturnes au centre ville prenant des allures d’émeute aux alentours des angles de Crescent et Sainte Catherine. 

Les touristes venus pour le weekend de la Formule‑1, n’ont pas pu passer à coté des revendications sociales et étudiantes qui font rage au Québec depuis plus de 3 mois. Rassemblés sur la rue Crescent, ils furent témoins de bombes fumigènes, de voitures de police aux vitres fracassées, et de plusieurs dizaines d’arrestations.


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